Du 24 au 27 novembre, la classe de 1G1 a eu la chance de participer à un stage théâtral d’une semaine, au théâtre du Fil de l’eau, à Pantin.
Orchestré par Mme Smaniotto, professeure de français au lycée, et Clément, responsable des relations publique au Théâtre du Fil de l'eau, ce stage a permis à la plupart des élèves de découvrir, non seulement le monde du théâtre, mais aussi de se découvrir eux-mêmes.
Durant une semaine, ils ont été encadrés par Issam et Chloé, membres de la Compagnie de théâtre Nova. Grâce à eux, les élèves ont pu faire entendre leur voix à l'aide de jeux et improvisations parfois loufoques (on peut notamment citer « la machine à morve » sortie de l’imagination de M. Péméja, professeur de physique-chimie, lors du dernier jour au théâtre).
Autour des textes de Léon Gontran Damas, auteur et poète de la négritude, la classe s’est livrée à un atelier d’écriture, mais aussi à plusieurs lectures intenses.
Durant l'atelier d'écriture, ils ont rédigé des textes sur des événements qu'ils ont vécus, à propos de leur ressenti sur un sujet proposé ou encore écrit tout ce qui leur traversait l'esprit de manière à écrire sans interruption pendant un temps donné.
Les productions, souvent comiques, de l’atelier d’écriture, ont été enregistrées, et la classe s’est produite devant quelques personnes, dont le proviseur et des professeurs du lycée.
Mais comment ce stage a-t-il été perçu par les élèves? Et que leur a-t-il apporté?
Mathis et Thomas, auteurs de cet article et membres circonspects de la 1G1, ont participé à cette semaine haute en couleurs, et nous donnent leur ressenti.
Pour sa part, Thomas se dit « profondément changé grâce à cette opportunité » ; il a pu
« s’épanouir au sein de la classe », mais surtout, il a l’impression d’avoir vu ses « capacités, tant à l’oral, qu’à l’écrit, décuplées », et que cette semaine lui a permis de faire « des progrès inespérés ».
Au terme de ce stage, il révèle être « profondément reconnaissant envers les personnes qui ont permis le stage » et ne regrette qu’une seule chose : « qu’il n’ait pas duré plus longtemps ».
Mathis, quant à lui, trouve que « cette semaine a permis aux élèves de mieux se connaître en dehors du cadre scolaire et de découvrir le milieu théâtral. De plus, ce fut l'occasion pour les élèves timides de prendre la parole devant un public.»
Ecrit par Thomas et Mathis.
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